jeudi 10 septembre 2020

Vue d’ensemble de la providence menée par Moïse

Chapitre Moïse et Jésus

dans la providence de la restauration

La Bible contient de nombreux secrets relatifs à l’œuvre divine du salut. « Mais le Seigneur Yahvé ne fait rien qu’il n’en ait révélé le secret à ses serviteurs les prophètes. » Pourtant, sans connaître le Principe qui sous-tend la providence, les êtres humains se sont montrés incapables de percer les mystères que renferme la Bible. Le récit biblique de la vie d’un prophète ne se réduit pas à une simple chronique historique. En réalité, par sa vie, la Bible dévoile le chemin que tous les êtres humains déchus doivent emprunter.

Nous allons examiner en particulier comment Dieu a établi les cours providentiels de Jacob et Moïse comme modèles au cours de Jésus pour sauver toute l’humanité.

Section 2

La providence de la restauration sous la conduite de Moïse

2.1 Vue d’ensemble de la providence menée par Moïse

La providence de la restauration menée par Moïse reposait sur le fondement pour le Messie établi dans la famille d’Abraham. Toutefois, le Principe exigeait encore que Moïse lui-même établît le fondement pour le Messie en restaurant par l’indemnité le fondement de foi et le fondement de substance. Chaque fois que la figure centrale de la providence change, la nouvelle figure centrale ne peut hériter la mission providentielle sans d’abord accomplir, par elle-même, une responsabilité semblable. En outre, dans ce cas, le fondement devait être posé à nouveau du fait que le niveau de la providence s’était étendu d’une famille à une nation.

Comme nous le verrons, dans la providence de la restauration menée par Moïse, les conditions d’indemnité requises pour poser ces fondements différaient assez nettement de celles des cours antérieurs.

2.1.1 Le fondement de foi

2.1.1.1 La figure centrale pour restaurer le fondement de foi

Moïse était la figure centrale pour restaurer le fondement de foi.

Un fondement de foi devait être posé à nouveau pour commencer le cours du retour à la terre promise de Canaan sur le fondement des 400 ans d’esclavage dû à la faute d’Abraham dans son offrande symbolique. Avant d’étudier comment Moïse a établi le fondement de foi, examinons d’abord la position providentielle de Moïse en relation avec Jésus et ensuite dans la prochaine section, déterminons en quoi il différait des figures centrales précédentes qui furent appelées à poser un fondement de foi.

Premièrement, Moïse fut placé dans la position de représenter Dieu, agissant à Sa place. Dieu lui dit qu’il devait être comme Dieu pour Aaron. Il dit aussi : « Vois, j’ai fait de toi un dieu pour Pharaon, et Aaron, ton frère, sera ton prophète.»

Deuxièmement, Dieu établit Moïse pour préfigurer Jésus. En permettant à Moïse de se tenir dans la position de Dieu devant Aaron et le pharaon, Dieu l’établit comme précurseur de Jésus, l’incarnation unique de Dieu. En préfigurant Jésus, Moïse ouvrit en pionnier le chemin que celui-ci emprunterait un jour. Tout comme Jean le Baptiste après lui, Moïse devait « rendre droit le chemin » pour Jésus.

Comme descendant de Jacob, qui avait établi le fondement pour le Messie, Moïse put servir de figure centrale dans l’ère providentielle de la restauration. Dans son chemin providentiel, il put s’appuyer sur la tradition et les actes de son ancêtre, Jacob. Leurs deux cours servirent de modèles au chemin que Jésus suivrait plus tard.

Moïse se tenait aussi sur le fondement que Joseph avait établi lors de son entrée en Égypte. La vie de Joseph était une autre préfiguration de la vie de Jésus. Étant fils de Rachel (la femme de Jacob représentant le côté de Dieu) et frère cadet des fils de Léa (la femme de Jacob représentant le côté de Satan), Joseph se tenait dans la position d’Abel. Il échappa de justesse au plan de ses frères aînés visant à le tuer, et lorsqu’il fut vendu à des marchands, il entra en Égypte comme esclave.

Or, il fut élevé à la dignité de Premier ministre d’Égypte vers l’âge de 30 ans. Ses frères et son père vinrent en Égypte, se prosternèrent humblement devant lui, accomplissant ainsi le rêve prophétique qu’il avait eu dans son enfance. Sur le fondement de cette victoire providentielle, les Israélites entrèrent en Égypte où ils entamèrent une période d’épreuves visant à couper leurs liens avec Satan.

Le cours de Joseph préfigurait celui que Jésus suivrait plus tard. Après être venu dans le monde satanique, Jésus allait endurer un chemin d’épreuves et apparaître comme Roi des rois à l’âge de 30 ans. Il lui faudrait amener tous les êtres humains, y compris ses ancêtres, à se soumettre à lui, couper tous leurs liens avec le monde satanique et les restaurer vers la sphère de Dieu.

La petite enfance, l’enfance et la mort de Moïse préfiguraient aussi le cours de Jésus. Dès sa naissance, Moïse courait le risque d’être tué par le pharaon. Après que sa mère l’eut élevé en cachette, Moïse fit son entrée au palais du pharaon, et grandit en toute sécurité au milieu de ses ennemis. De même, Jésus naquit dans des circonstances qui lui faisaient courir le risque d’être tué par le roi Hérode. La mère de Jésus le prit, s’enfuit avec lui en Égypte et l’y éleva en cachette.

Après la mort du roi Hérode, elle le ramena en Galilée où il grandit en toute sécurité au milieu de ses ennemis. Après la mort de Moïse, personne ne put localiser l’emplacement de son corps42 ; cela préfigurait ce qui adviendrait du corps de Jésus après sa mort.

Par tous ces aspects, le cours de Moïse pour restaurer Canaan au niveau national était le modèle du cours de Jésus pour restaurer Canaan au niveau mondial. Et, comme on l’a mentionné plus tôt, la Bible atteste par les paroles de Moïse43 et de Jésus44 que Dieu dévoila par la vie de Moïse un modèle pour Jésus, préfigurant ainsi le chemin que Jésus emprunterait dans le futur.

2.1.1.2 L’objet conditionnel pour restaurer le fondement de foi

Moïse n’occupait pas la même position que les figures centrales antérieures qui s’étaient vu confier l’établissement du fondement de foi. À la différence d’Abel, de Noé et d’Abraham, Moïse n’eut pas besoin de présenter une offrande symbolique. Au lieu de cela, il put restaurer le fondement de foi par sa simple obéissance à la parole de Dieu, en traversant un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan.

(Littéralement, ce terme peut se lire comme « fondement de 40 jours pour se séparer de Satan ». Nous préférons l’expression : « cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan » pour les raisons suivantes : tout d’abord, les « 40 jours » se réfèrent au déluge du temps de Noé, le premier à établir cette condition (cf. Fondement 2.1.2), et non à la longueur de la période nécessaire pour l’accomplir, qui peut durer 40 ou même 400 ans ; ensuite, bien que le résultat en soit l’établissement d’un fondement, le texte emploie ce terme pour définir un cours d’une durée déterminée. – N.D.T.)

Il y a trois raisons à cette différence.

Premièrement, Moïse s’appuyait sur le fondement des trois offrandes symboliques réussies par Abel, Noé et Isaac. Ils avaient mené à bien la providence sur la base des offrandes symboliques.

Deuxièmement, les offrandes symboliques étaient les objets conditionnels rendus nécessaires comme substituts de la Parole, car nos premiers ancêtres ayant perdu la parole de Dieu au moment de la chute, les êtres humains n’étaient plus en mesure de recevoir Sa parole directement. Par conséquent, durant l’ère providentielle du fondement pour la restauration (la période d’Adam à Abraham), des offrandes avaient été offertes comme objets conditionnels pour poser le fondement de foi. Toutefois, à l’époque de Moïse, cette ère était parvenue à son terme. L’humanité était entrée dans une nouvelle ère, l’ère providentielle de la restauration (l’ère de l’Ancien Testament), où elle pouvait de nouveau recevoir la parole de Dieu directement. Une offrande symbolique n’était donc plus nécessaire pour établir le fondement de foi.

Troisièmement, comme la providence commencée avec la famille d’Adam fut sans cesse prolongée, certaines conditions d’indemnité étaient nécessaires pour restaurer les périodes providentielles souillées par Satan.

En posant le fondement de foi, Noé dut passer par un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan, tout en vivant dans l’arche. Abraham put présenter l’offrande symbolique pour poser le fondement de foi seulement après la période précédente de 400 ans, ayant ainsi pour fondement un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan. Les Israélites souffrirent pendant 400 ans d’esclavage en Égypte afin de traverser un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan et restaurer ainsi le fondement de foi réclamé par Satan à cause de la faute d’Abraham.

Ainsi, dans l’ère providentielle de la restauration, une figure centrale pouvait poser le fondement de foi en observant la parole de Dieu durant un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan, puisqu’un objet conditionnel n’était dorénavant plus requis pour lui servir de substitut.

2.1.2 Le fondement de substance

Dans l’ère providentielle du fondement pour la restauration, Dieu avait réalisé l’établissement du fondement de substance familial. En entrant dans l’ère providentielle de la restauration, Dieu œuvra à l’établissement du fondement de substance national. Puisque Moïse était comme Dieu pour le peuple et représentait Jésus, en posant le fondement de foi national, il occupait la position de parent pour les Israélites. Mais en même temps, Moïse était le prophète qui avait la mission de préparer le chemin pour Jésus. Il avait donc la position d’enfant par rapport à Jésus, qui allait venir comme le Vrai Parent.

De ce fait, par rapport aux Israélites, Moïse occupait la position d’Abel comme figure centrale pour le fondement de substance national.

Rappelons-nous qu’Abel fit l’offrande symbolique en position de parent, à la place d’Adam, et fut ainsi en mesure de présenter l’offrande substantielle en position d’enfant. Pareillement, Moïse se tenait dans les doubles positions de parent et d’enfant. En restaurant par l’indemnité le fondement de foi, il était en position de parent. Il assura ainsi la position d’Abel dans le fondement de substance, au cours duquel il était en position d’enfant.

Une fois que Moïse eut assuré la position d’Abel, les Israélites, en position de Caïn, étaient censés établir la condition d’indemnité au niveau national pour éliminer la nature déchue par leur obéissance à Moïse. Ce faisant, ils pouvaient accomplir le fondement de substance national.

2.1.3 Le fondement pour le Messie

Moïse devait restaurer par l’indemnité le fondement de foi national, et les Israélites sous la conduite de Moïse devaient restaurer par l’indemnité le fondement de substance national. Cela aurait constitué le fondement national pour le Messie et la base pour une nation souveraine où le Messie pourrait venir. Les Israélites auraient alors été amenés à recevoir le Messie, à naître à nouveau de lui, à être lavés du péché originel, et à restaurer leur nature originelle en s’unissant à Dieu par le cœur. De la sorte, ils pouvaient atteindre leur but ultime qui était de devenir parfaits.

2.2 Les cours pour restaurer Canaan au niveau national sous la conduite de Moïse

Moïse fit sortir les Israélites d’Égypte, le monde satanique, avec des miracles et des signes ; il leur fit traverser la mer Rouge et les fit errer dans le désert avant d’entrer dans la terre promise de Canaan. Cela préfigurait le cours de Jésus pour conduire les chrétiens, le deuxième Israël. Par des miracles et des signes, Jésus arracherait les chrétiens à leur vie de péché et les conduirait en toute sûreté à travers la mer troublée du mal. Il les emmènerait dans un désert privé de l’eau qui donne la vie, avant de les guider jusqu’au jardin d’Éden promis par Dieu.

Tout comme le cours pour restaurer Canaan au niveau national sous la conduite de Moïse a nécessité trois tentatives, en raison de l’incrédulité des Israélites, il y a eu trois tentatives lors du cours pour restaurer Canaan au niveau mondial sous la conduite de Jésus, à cause de l’incrédulité de Jean le Baptiste et du peuple juif à cette époque.

Pour éviter les répétitions, on n’entrera pas ici dans une comparaison détaillée des cours de Moïse et de Jésus. Toutefois, les parallèles deviendront évidents en comparant cette section à la suivante.

2.2.1 Le premier cours pour restaurer Canaan au niveau national

2.2.1.1 Le fondement de foi

Après 400 ans d’esclavage en Égypte, la période d’indemnité exigée des Israélites à cause de la faute d’Abraham arriva à son terme.

Pour que Moïse devienne la figure centrale restaurant le fondement de foi et se qualifie afin de mener les Israélites hors d’Égypte, il devait, en tant qu’individu, hériter de la période d’indemnité nationale de 400 ans et traverser un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan. En outre, Moïse avait à restaurer par l’indemnité le nombre 40, qu’Adam non déchu aurait dû accomplir pour établir son fondement de foi. Pour réaliser ces buts, Moïse fut amené dans le palais du pharaon, centre du monde satanique, et y demeura 40 ans.

Durant son séjour au palais, Moïse fut éduqué par sa mère qui, à l’insu de tous, était employée pour être sa nourrice. Elle lui communiqua secrètement la conscience et la fierté d’appartenir au peuple élu. Malgré le confort de la vie du palais, Moïse conserva une loyauté et une fidélité inébranlables à la lignée d’Israël. Après 40 ans, il quitta le palais, « aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que de connaître la jouissance éphémère du péché ».

Aussi, durant les 40 ans de sa vie au palais du pharaon, Moïse traversa un cours sur la base du nombre 40 pour se séparer de Satan et restaura par là même le fondement de foi.

2.2.1.2 Le fondement de substance

Moïse était dans une double position de parent et d’enfant. En établissant le fondement de foi, il assura aussi la position d’Abel pour le fondement de substance. Les Israélites, qui étaient dans la position de Caïn, étaient censés suivre Moïse et lui obéir avec foi. En s’unissant ainsi à la volonté de Dieu par l’intermédiaire de Moïse et en multipliant le bien, ils auraient accompli la condition d’indemnité au niveau national pour éliminer la nature déchue et ils auraient établi le fondement de substance national. Les Israélites devaient poser le fondement de substance en suivant Moïse depuis leur sortie d’Égypte jusqu’à leur entrée dans la terre bénie de Canaan.

Dieu établit la condition préalable à ce cours avec l’acte de Moïse tuant un Égyptien. Voyant l’un de ses frères maltraité par un maître de corvée égyptien, Moïse sentit monter en lui un amour brûlant pour son peuple ; il tua l'Égyptien et le cacha dans le sable. En un sens, c’était une expression du cœur de Dieu brûlant d’indignation alors qu’Il regardait l’affliction de Son peuple.

À ce moment-là, les Israélites allaient-ils s’unir à Moïse ou se désolidariser de lui ? C’est ce qui allait déterminer s’ils pourraient ou non commencer leur retour vers Canaan.

Quand Moïse tua l’Égyptien, Dieu utilisa cet acte pour accomplir ce qui suit :

Premièrement, l’archange avait poussé nos premiers ancêtres à chuter et Caïn à tuer Abel ; telles sont les conditions qui ont permis à Satan, en utilisant la position de fils aîné, d’orienter le cours d’une histoire remplie de péchés. C’est pourquoi, avant que Dieu ne puisse commencer la providence pour restaurer Canaan, quelqu’un du côté de Dieu devait remplir la condition de restaurer cette situation par l’indemnité, en l’emportant sur quelqu’un du côté de Satan représentant le fils aîné.

Deuxièmement, cet acte coupa définitivement tout reste d’attachement de Moïse au palais du pharaon et le plaça dans une situation telle qu’il ne pourrait jamais y revenir.

Enfin, par cet acte, Dieu voulait inciter les Israélites à avoir confiance en Moïse en leur montrant qu’il était un patriote israélite. Comme nous le verrons, ces raisons sont comparables à celles pour lesquelles, dans le deuxième cours pour restaurer Canaan au niveau national, Dieu frappa tous les premiers-nés des Égyptiens et de leur bétail.

Les Israélites, témoins de l’acte de Moïse tuant l’Égyptien, auraient dû être profondément touchés par son amour pour Israël, tout comme Dieu l’était. S’ils avaient ressenti les choses de cette façon, ils auraient respecté Moïse, lui auraient fait confiance, et l’auraient suivi avec zèle. Alors, sous la conduite de Moïse, Dieu les aurait amenés directement sur la terre de Canaan où ils auraient établi le fondement de substance. En fait, ils n’auraient pas eu à traverser la mer Rouge ni à errer dans le désert du Sinaï, mais auraient pris le chemin direct vers Canaan en passant par la terre des Philistins. En un cours de 21 jours, ils auraient restauré les 21 ans de Jacob à Harân.

Plus tard, dans le deuxième cours pour restaurer Canaan au niveau national, Dieu avait un motif de défiance envers les Israélites, parce que leur échec précédent à suivre Moïse avait fait échouer le premier cours pour restaurer Canaan au niveau national.

Il est écrit : « Lorsque Pharaon eut laissé partir le peuple, Dieu ne lui fit pas prendre la route du pays des Philistins, bien qu’elle fût plus proche, car Dieu s’était dit qu’à la vue des combats le peuple pourrait se repentir et retourner en Égypte. »

Pendant le deuxième cours pour restaurer Canaan au niveau national, Dieu lui fit traverser la mer Rouge après un détour par le désert, craignant non sans raison qu’il ne perde la foi au point de retourner en Égypte sans avoir mené à bien son périple.

2.2.1.3 L’échec du premier cours pour restaurer Canaan au niveau national

Si les Israélites (Caïn) avaient obéi de tout cœur à Moïse (Abel), en le suivant pour revenir en Canaan, ils auraient établi la condition d’indemnité au niveau national pour éliminer la nature déchue et posé le fondement de substance. À l’inverse toutefois, quand ils virent Moïse frapper et tuer l’Égyptien, ils ne le comprirent pas et médirent de lui : Le jour suivant, il revint alors que deux Hébreux se battaient. « Pourquoi frappes-tu ton compagnon ? » dit-il à l’agresseur. Celui-ci répondit : « Qui t’a constitué notre chef et notre juge ? Veux-tu me tuer comme tu as tué l’Égyptien ? » Moïse effrayé se dit : « Certainement l’affaire se sait. » Pharaon entendit parler de cette affaire et chercha à tuer Moïse. – Ex 2.13-15

Moïse n’avait d’autre issue que de fuir le pharaon. Abandonnant à contrecœur les Israélites, il s’enfuit dans le désert de Madiân. Le fondement de substance était réduit à néant, et le cours des Israélites pour restaurer Canaan sous la conduite de Moïse allait se répéter une deuxième et, en fin de compte, une troisième fois.

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